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Les bénévoles de l’AMAP ont déployé beaucoup d’énergie dans la préparation et l’organisation de ces journées. Peu de visiteurs en ce
samedi matin mais l’optimisme reste de mise. Les producteurs ont installé leurs produits à l’ombre du hangar. Même l’association Convivencia, partenaire de l’Amap est avec nous.
Khalid, le jardinier émérite fait découvrir les productions en cours –salades diverses, courgettes, tomates, poivrons sont bien en place sous les serres froides, et les fèves, en pleine production- fraises, et autres légumes fraîchement plantés font le plaisir des visiteurs curieux.
Nicole arpente les chemins du mas en compagnie d’une équipe de 15 personnes à la recherche des plantes sauvages et comestibles qui y poussent. Ils en découvrent une trentaine de variétés.
Le repas tiré du sac est partagé sous le platane et ravit les papilles.
Les visites reprennent et l’atelier calligraphies végétales et les jeux de l’association Martingale mettent en avant l’esprit créatif et inventif des participants d’âges divers.
La soirée débute avec un concert de chants polyphoniques du monde avec le quintet « les Cytèles ». Douceur et résonnances harmoniques sous le hangar enchantent la cinquantaine d’amis spectateurs. Un régal de sonorités qui va continuer par le régal des papilles avec le repas du soir élaboré avec les produits et légumes de l’AMAP., sans compter les délicieuses pâtisseries orientales et autres tartes au citron ou mimi- fraisiers proposés par Btissem, l’épouse de Khalid. S’ensuit le Baletti animé à l’accordéon et au saxophone par Florian et Fabrice, des amis et supporters de longue date de l’AMAP. Le mas s’endort vers minuit pour ouvrir à nouveaux ses portes dimanche matin à 10h.
Dès l’ouverture les premiers visiteurs sont là : des couples, avec ou sans enfants, des anciens adhérents et des nouveaux qui découvrent les producteurs locaux et leurs produits, qui sont présents sous le hangar le mardi et le vendredi pour la distribution des « petits ou grands paniers » de légumes.
Les visites du jardin reprennent, et de nouvelles plantes sauvages sont découvertes.
Les bénévoles retrouvent le sourire, les visiteurs sont plus nombreux qu’hier et ils montrent leur intérêt pour ces produits de saison, cultivés en bio et par tout ce que l’AMAP propose.
A 14h c’est le duo féminin Synantó, accompagné de leurs guitares, percussion, violoncelle, flûte traversière qui font résonner les mélodies traditionnelles méditerranéennes et balkaniques sous la treille centenaire du mas.
Belle ambiance, douces émotions, partages, échanges, retrouvailles, nouvelles rencontres…
Un très joyeux week-end où une centaine de personnes sont venues découvrir ou re-découvrir l’évolution de cette AMAP –la première qui voit le jour dans le Gard en 2006. Après quelques années de remises en question cette Association pour le maintien de l’agriculture paysanne semble retrouver une nouvelle dynamique avec un collectif et des bénévoles qui œuvrent pour « manger sain » et local avec des paysans heureux et fiers de leurs métiers.
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Au programme de ces deux journées des activités, des concerts et des repas :
Voici le Programme détaillé !
Après la pause hivernale de Noël (2 semaines), les serres sont mises àcontribution pour continuer à fournir l’AMAP en légumes d’hiver : salades,blettes, céleris, fenouils, épinards, et radis. Quelques choux y sont aussi à l’abri.Khalid se désespère parfois à devoir partager les récoltes avec les campagnols provençaux ; une des serres a été particulièrement touchée cet hiver…En plein champ, les betteraves sont également appréciées par ces petitsrongeurs, mais les navets comme les radis raves (rouges ou violets) et noirs et les carottes leur ont échappé. La population de ces ravageurs –qui avaient mangé tous les artichauts l’an dernier– paraît moins forte.Côté matériel, notre jardinier est maintenant presque propriétaire de son outil de production, racheté à prix d’ami à Anne–Marie.Ceux qui ont visité la ferme à l’occasion des JPO connaissaient entre autres le vieux presse–mottes, cette machine qui a permis pendant des années de produire la majorité des plants du potager.Malheureusement, il est tombé en panne en fin de saison. Le coût élevéde réparation sur la pièce défaillante a incité à prendre un temps de réflexion avant de trouver une solution...Pour cette raison, la production de plants de salades a été suspendue untemps et il a fallu acheter des plants.Ouf ! Une autre machine (cf photo) a été trouvée chez un voisin qui n’en avait plus l’usage. Mise en place il y a quelques jours, elle est maintenant fonctionnelle et a déjà servi à produire les premières plaques de salades.Doublement protégées dans la serre froide de la pépinière, elles seront à planter d’ici une quinzaine de jours.
Cependant, malgré les nombreuses gelées matinales et le long épisode de mistral fin janvier et début février, quoiqu’au ralenti, les cultures de plein– champ perdurent et alimentent en grande partie nos paniers : la diversité et la vigueur des différents types de choux y est particulièrement remarquable.Les premières fèves, semées à l’automne, commenceront bientôt à fleurirtandis qu’un 3ème semis n’a pas encore pointé ses premières feuilles.Des petits pois semés récemment sont déjà sortis de terre. Un 1er semis,précoce, avait périclité après avoir subi un épisode trop humide.
L’AG du 31 janvier et les nouvelles de l’association.
L’assemblée générale annuelle s’est tenue à la salle Jean Jaurès de Fourques.Pauline, après trois mandats de présidente, a présenté le bilan de l’année avant de passer la main pour la suite. Le collectif, un peu renouvelé avec l’arrivée d’Odile et de Luc, va se réunir ce soir et choisira un ou une remplaçant.e…Roland, après avoir récupéré une structure de chambre froide a expliqué où et comment elle pourrait être installée pour remplacer celle que nous connaissons depuis les débuts de l’AMAP au Mas. Un appel aux bonnes volontés sera lancé.
A une exception près, tous les producteurs de 2022 repartent avec l’AMAP en 2023. Les contrats pour les asperges, puis les fromages de chèvre et les fruits ne sont pas encore prêts, mais leurs livraisons ne reprendront qu’en avril ou en mai.
L’exception, ce sont Amaya et Anaïs, qui avaient peu de contrats et qui sont incertaines par rapport à l’avenir de NOKA. Elles ont décidé de ne pas s’engager pour proposer de nouveau leurs savons. Elles pourront cependant être présentes à l’occasion d’un prochain marché des producteurs…
Florine, qui a rejoint nos producteurs l’été dernier, continue à proposer ses légumes lactofermentés, gelées et sirops, en partie avec des légumes de Khalid.
En accord avec lui et Terre de Liens, elle projette même une installation agricole sur la ferme du Rouinet.
Enfin, après avoir repris l’exploitation de leur père, deux nouvelles et jeunes productrices sont venues proposer d’autres produits à partir du lait des brebis que l’une élève dans la Crau et que l’autre transforme : Violette et Amélie